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Histoire
E-reputation
Cette manie constitue, selon le psychiatre Erik Nortier une petite régression vers l'enfance au temps où l'enfant avait besoin de gonfler son ego avant de s'ouvrir aux autres. Le décodage des informations transmises par le moteur de recherche peut s'avérer utile pour en apprendre plus sur soi-même à condition de rester serein par rapport aux informations fournies.
Google ne sert pas à évaluer une personne. Encore moins à s'auto-évaluer. A ce titre, l'image figée renvoyée par Google n'est pas capable de restituer les actes quotidiens dont chaque consommateur peut être fier.
Et la découverte des renseignements empilés par Google tels que photos de soirées publiées sur Facebook, réactions dans des forums, classement publié par un club sportif ne constitue pas un résumé du parcours de vie d'un consommateur.
Parfois, Google peut faire apparaître des critiques qui relèvent d'une vindicte publique. Si les propos peuvent relever de la calomnie ou de la médisance, il est souvent difficile de mener un combat pour faire cesser toutes les publications. Souvent, le consommateur n'aura d'autres solutions que de s'exercer à l'indifférence.
Quand un Internaute désire suivre son e-réputation, il doit créer une alerte sur Google en utilisant le menu plus sur la page d'accueil et en sélectionnant l'item alertes. En inscrivant son nom, Google peut informer par mail des nouveautés apparues sur le nom du consommateur.