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Histoire

La taxation des plus-values va-t-elle générer une approche plus progressiste de la fiscalité ?

Un des monstres du Loch Ness fiscal réapparaît régulièrement : la taxation des plus values. Il est vrai que le contexte actuel de réduction du déficit budgétaire à moins de 3% du PIB soit plus de 800 millions en 2012 et de 3,7 milliards en 2013, sans oublier le refinancement de Dexia.

Un moment privilégié pour s'interroger sur la stratégie d'austérité mise ne place dans les gouvernements en Europe.

Réduire à nouveau les dépenses va toucher à la protection des consommateurs, et de plus en plus aux plus faibles. Augmenter les recettes fiscales va ralentir la consommation des ménages et la production si celles-ci ne s'adressent pas aux hauts revenus.

La politique d'austérité menée aujourd'hui pourrait même conduire à des hausses de la TVA, un impôt inégalitaire et récompense, trop souvent, par les régularisations fiscales (DLU), la fraude fiscale.

Une solution avancée par de nombreux économistes consiste à taxer les plus-values, c'est-à-dire le bénéfice réalisé lors de la revente d’un actif (comme une action) à un prix supérieur à son prix d’achat. Question de répartir plus équitablement les impôts. Un enjeu essentiel pour obtenir l'adhésion de la population dans une période économique difficile.

 
 
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